Clins d'œil du Maroc

C'est fait, nous poursuivrons dans quelques mois notre aventure marocaine.

Patience !!!!!

Cette année direction Ouarzazate pour deux semaines.

Bon tiens, aujourd'hui 27 février, c'est l'annniversaire d'Elé.

Bon anniversaire ma grande.

Ce 18 août 2005, il n'était pas peu fier de savoir que sa petite fille avait fait son baptême de l'air sur un Airbus.

De son jardin situé à portée d'aile de l'aéroport, il regardait ces gros oiseaux s'envoler. Lorsque nous partions, nous l'appellions toujours quelques minutes avant le décollage pour lui décrire l'appareil et lui dire à quelle heure nous allions prendre les airs. Et lorsque nous quittions le sol, nous savions qu'il était là quelque part en dessous en train de scruter le ciel.

Maintenant, c'est lorsque nous serons au-dessus des nuages que nous l'apercevrons sans doute. Nous ne monterons plus dans un Airbus, sur lesquels il était si fier d'avoir travaillé à l'Aérospatiale, comme avant, ni dans n'importe quel avion d'ailleurs.

" On dira que la seule différence
c' est que désormais tu as
des nuages en guise de pelouse " comme l'écrit une poètesse qui se reconnaîtra.

Unité de temps, unité de lieu : cette petite soirée était en fait la dernière de ces vacances marocaines 2007.

SPECIAL THANKS à tous ceux qui volontairement ou involontairement sont sur les photos.

Remerciements particuliers à Roselyne ....

... qui m'a envoyé quelques unes de ses photos pour alimenter ce blog.

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... Et que l'on voit là avec Mailys sa fille en plein désert.

... puis là avec Momo, le chef animateur ou l'animateur-chef, c'est comme vous voulez, et nous lors de notre dernière soirée à l'hôtel.

A l'hôtel ce soir, c'est soirée marocaine. Bon, je sais, ça fait touriste, mais comme l'hôtel est petit, on se fait une belle immersion et des émotions. La preuve, en photos !

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Avec les enfants

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Le charmeur de serpents

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Et oui, elle l'a fait...

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Et voilà le travail...

Il y a des moments comme ça où on veut s'exercer à faire de la photo " d'art ". Bon je sais c'est un peu prétentieux, mais finalement pas trop mal. Aïe les chevilles.

Voici donc en sépia " Miss Elé " au premier plan, avec Khadija une des animatrices du club juniors.

Nous voilà de retour à Tineghir. Quelques kilomètres avant d'arriver à la ville, un arrêt s'impose sur ce belvédère qui domine la palmeraie. Pour le plaisir des yeux... tout simplement.

Les gorges du Todra sont considérées comme un des sites naturels les plus beaux de tout le Maroc. Les falaises les plus hautes font plus de deux cents mètres de hauteur. Après avoir traversé Tineghir, prendre à gauche... de toute façon c'est indiqué. Il ne reste plus qu'une quinzaine de kilomètres à faire.

Au fond de ces gorges coule une rivière dont l'eau est d'une limpidité absolue. Elle prend sa source à quelques mètres du restaurant, qui est un haut lieu touristique de l'endroit. (ci-dessous)

Les gorges du Todra sont un lieu de balade très prisé des Marocains, mais les touristes s'y pressent également en nombre. On y accède par une petite route déja fort encombrée, mais qui en plus est souvent bloquée à cause des nombreux cars de tourisme qui s'engouffrent là.

Qui dit lieu touristique dit commerce en tous genres... et dont l'inévitable marchand de boissons fraîches qui n'a pas de problème de stockage, comme on peut le constater au premier plan.

Une petite sieste bienvenue...

Un mur de roche à vous donner le vertige.

Boulmane Dadès est la ville située à la fin de la vallée du Dadès (lorsqu'onvient de Ouarzazate) et au début de la route des gorges du même Dadès. Altitude : 1800 mètres... comme Courchevel dans nos bonnes Alpes, mais forcément moins chicos.

La ville est accrochée à flanc de côteau. La vue est superbe.

De Boulmane Dadès, une vue sur la vallée du Dadès. Cette vallée est en quelque sorte la plus longue avenue du Maroc, puisqu'elle est habitée sur plus de 30 km, comme on peut le constater au fond sur la photo suivante.

Prochaine étape, Tineghir et les gorges du Todra

Comme promis, nous partons vers l'est et les gorges du Todra.

A Ouarzazate, prendre la direction de Skoura, ville d'une quinzaine de milliers d'habitants située à une quarantaine de kilomètres. De Ouarzazate aux gorges, il y a 170 km. Autant dire que quelques surprises nous attendent. On va en prendre plein les yeux.

Nous sommes là dans le haut Atlas, à plus de 1500 m d'altitude. Franchement, ça ne se remarque pas. C'est pourtant là que se trouve la vallée des roses. En été, il n'y en a pas une à l'horizon : normal, les roses fleurissent au printemps. C'est néanmoins toute l'année un oasis de verdure qui contraste avec les paysages désertiques que nous venons de traverser.

Cette route est aussi celle des villages accrochés à flanc de côteau et des kasbahs

Le même village en version zoom

Dans la vallée des roses, on sait célébrer les roses,et tous les ans se déroule à Kelaa Mgouna au mois de mai... la Fête des roses.

C'est aussi de là que vient la célèbre eau de roses, aux vertus multiples. L'eau de roses est le produit idéal pour les soins de la peau. Elle procure apaisement et régénération des tissus, c'est-à-dire qu'elle prévient l'apparition des rides et gomme les marques de fatigue. Rien de plus agréable qu’une fine pulvérisation d’eau de roses sur le visage. Elle est aussi conseillée pour se nettoyer les yeux, lorsqu'une poussière va s'y nicher. Elle est issue de la distillation des pétales de roses destinés à la fabrication d’essence de roses.

Bon, c'est sans doute le boulot qui fait que j'ai un peu moins de temps à consacrer au blog.

A partir de demain, je vous emmène en plusieurs étapes dans les gorges du Todra, dont voici un petit aperçu. Soyez patients.